Signification : Celui qui s’attaque à quelqu’un doit en mesurer les risques
Origine : Expression française lexicalisée au milieu du XIXème siècle mais dont les origines remontent au XVème siècle considérant que « qui s’y frotte s’y pique » serait la devise du roi Louis XI. En effet ce sont les ducs d’Orléans qui les premiers ont adopté le porc-épic comme emblème qui fut conservé par le roi.
Exemple d’utilisation : Elle buvait tout son bénéfice. Elle n’avait pas d’habitués. « Qui s’y frotte s’y pique », disait-elle. Elle s’appuyait sur tous les inconnus de passage. (B. Cendrars)
Signification : Ceux qui ont de l’affection pour moi ou des liens avec moi le prouvent en m’accompagnant et en me soutenant.
Origine : Expression française dont les origines remontent au milieu du XIIIème siècle quand le roi Philippe VI de Valois part en guerre contre les bourgeois de Bruges. Il demanda aux barons de l’accompagner dans cette bataille et à leur mine réticente, il répondit « qui m’aime me suive« .
Signification : Celui qui abandonne momentanément un avantage ou une situation risque de ne pas les retrouver à son retour.
Origine : Expression française qui puise ses origines dans le jeu de paume. Selon les principes de ce jeu, la chassese définirait comme étant un point particulier et lorsqu’elle est obtenue, les joueurs changent de côté et de ce fait celui qui est au service perd sa place jugée comme étant la plus favorable.
Signification : Rater une occasion qui ne risque pas de revenir
Origine : Expression française d’origine proverbiale qui traite de niais celui refuse quelque chose du moment que le présent risque de ne plus se présenter. « Qui refuse, muse » s’applique généralement aux filles qui n’arrivent plus à se marier vu leur âge après avoir râté de bons partis.
Signification : Expression française servant à décrire celui qui est engagé dans une mauvaise affaire.
Origine : Proverbe qui puiserait ses origines dans la fameuse pièce de théâtre de Molière, les Fourberies de Scapin, lui-même étant une reprise du Pédant de Cyrano de Bergerac. Le terme galère se définit comme étant une embarcation mais reste le symbole de l’aventure.
Signification : désaccord ou disputes à l’intérieur d’un groupe.
Origine : Afin de mieux comprendre cette expression française, il faudrait commencer par définir les termes qui la composent. En effet quel rapport existe-t-il entre les intestins et les querelles. Il faudrait plutôt chercher dans la définition du mot intestin dans le langage du XIVème siècle. Ce terme viendrait du vocabulaire latin où ce terme désigne l’intérieur et non le boyau. de ce fait cette expression française ferait allusion aux querelles du groupe et n’inclue aucun rapport avec les boyaux des personnes en question.
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Signification : Temps froid et humide
Origine : Expression française qui trouve son origine dans les campagnes d’antan. En effet, à cette époque, l’abattement du cochon était effectué à des fins nourricières mais vu la corpulence l’animal, une partie en était conservée pour des temps plus difficiles. La principale méthode de conservation était le saloir et pour que la prise de sel se fasse dans les meileures conditions, il fallait disposer d’un temps clément pour l’opération à savoir un temps froid et humide. de ce fait le porc ne pouvait être tué pour servir à cette fin qu’autour du mois de novembre.
Expression française synonyme : un temps de chien
Signification : Preuve d’intérêt et d’amitié que de corriger quelqu’un de ses défauts.
Origine : Expression française de la fin du XVIème siècle qui parait-il se basait sur une doctrine de socrate sur l’éducation des enfants. En effet, la colère d’une femme qui châtie l’enfant coupable est une preuve de plus de l’amour qu’elle lui porte. En le voulant parfait, elle ne peut que s’indigner de trouver en lui quelque chose à reprendre. Selon d’autres interprétations, le principe énoncé par cette expression a longtemps correspondu à une évidence. Ce recours à la violence dans l’éducation des enfants allait de soi et se justifiait par le fait qu’une nature considérée mauvaise necessitait un dressage. De ce fait, dans les écoles les châtiments corporels étaient admis par tout le monde.
Exemple d’utilisation : Ces âmes viles ne cognoissants pas le bien que je leur voulois, et ne considérans pas que qui bien ayme bien chastie se cabroient à tous les coups. (Ch. Sorel : Histoire comique de la Francion)