Signification : Accepter par mesure de prévoyance, une chose dont on a suffisamment.
Origine : Expression française qui puise ses origines dans le dictionnaire du droit où elle existe sous la forme « ce qui abonde ne nuit pas » au XVIIème siècle. Elle va tendre à expliquer que les formalités faites en trop n’empêchent en rien la validité d’un acte et serait une adaptation juridique du latin « quod abundai non vitiat »